Et pouquoi pas d’arbres sythétiques? … et deux

Nous nous demandions il y a deux ans si celà était-il possible? et bien, il paraît que oui! Je viens de lire au magazine QUO, qu’il y a déjà plusieurs candidats. Voici un article à propos. Mais je me demande si ce ne serait plus facile, économique et performante l’arbre naturel de toujous, celui qui donnait des fruits, offrait des fleurs et faisait un bon abri aux oiseaux…  et encore… dire qu’il me semble un peu fou abattre les naturels pour y mettre des artificiels… à qui ça profite?

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ONG PARIS-MONTAGNE

imagen“Paris-Montagne est une ONG créée à Paris après les violences qui ont secoué les banlieues françaises en 2005. Portée par de jeunes scientifiques, Paris-Montagne utilise ladémarche sci entifique comme outil de médiation sociale.”

 Leïla Perié et Livio Riboli-Sasco sont ses  fondateurs.

Pour connaître ses objectifs et ses démarches vous pouvez visiter leur page web:

www.paris-montagne.org  ou bien lire ce document PDF: document en français cliquez ici

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Serge Latouche, idéologue de la décroissance



Article de Wikipédia

“Decrecimiento o barbarie”, entrevista a Serge Latouche traducida a castelán, PDF


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Obsolescence programmée ou désuétude planifiée

Ampoule

D’après wikipedia:”Par ce procédé, des fabricants conçoivent des objets dont la durée de vie commerciale (mais pas nécessairement la durée de vie technique) est délibérément courte. Ce stratagème oblige ou incite les consommateurs à remplacer rapidement leurs produits, et donc, à acheter de nouvelles marchandises. Dans certains cas, les fabricants ajoutent sciemment des défauts de conception à leurs produits.

Cette technique est utilisée en particulier par de nombreux constructeurs de véhicules, de jouets, de vêtements, de chaussures, d’appareils électroménagers, d’ordinateurs et de leurs périphériques, de logiciels, d’appareils à cordon électrique, de machines à roulement à bille, d’automobiles, d’appareils électroniques, d’appareils domestiques et autres appareils requérant l’utilisation d’une recharge quelconque.”

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Et pourquoi pas d’arbres synthétiques?

C’est une question qui nous vient à l’esprit, bien que nous ne soyons pas des scientifiques, et je me suis dit que c’était sûr qu’ils y ont aussi pensé, alors j’ai mis sur google: «arbres synthétiques » et j’ai bien trouvé deux choses:

  • Primo: Klaus Lackner savant réputé à l’Institut de la Terre (Université de Columbia) est en train de développer un système grâce auquel on capture le CO2 de l’atmosphère à l’aide du hydroxyde de sodium pour obtenir une solution liquide de carbonate de sodium que l’on transformerait en gaz et qui pourrait être enfui au sous-sol ou bien dans des puits à pétrole asséchés (par le moment on ne sait pas vraiment quoi en faire). D’autres scientifiques se demandent quel serait le coût de ce processus en termes monétaires et d’énergie pour que cela soit viable.

     

  • Secundo: Eusebio Moro et son entreprise: Movigi Air Spain Filter sont en train de développer un filtre pour capturer le CO2 et d’autres polluants: méthane, éthylène et d’autres particules. Après un traitement par le moment pas éclairé (question brevets!) l’air ainsi purifié serait rendu à l’atmosphère. Réalité pour quand? On verra…

 

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Pollution de la Ria de Noia: les problèmes et les solutions

imagenLe 27-08-08 le journal galicien “A Voz de Galicia” se faisait écho du souci des pêcheurs et ramasseuses de coquillages de Noia dû à l’installation d’un émissaire de la dépuratrice placé à la paroisse de Barro et qui verserait trop près des bancs de palourde et coquillages. Le souci était lié au fait que ces coquillages passeraient d’être catalogués comme “Zone A” (bivalve qui passe directement de mer à table) à être catalogué comme “Zone C”, ce qui obligerait à tenir le produit plusieurs semaines à la dépuratrice, ce qui produirait une baisse des prix.

Les pêcheurs et ramasseuses de coquillages ne font pas confiance à la capacité de la dépuratrice de faire face au volume d’eau à traiter et ils craignent que ces déchets ne soient versés à l’eau de la ria sans épurer. Ils demandent l’installation d’un système de pompage pour verser les déchets plus loin des zones d’extraction. Et ils ajoutent que, d’après eux, le plus convenable serait de séparer les eaux pluviales des eaux fécales, étant donné l’insuffisance des tuyaux pour traiter tout le débit.

 

Dans des propos antérieurs faits à “O Correo Galego” le 24-05-08 l’Association des pêcheurs de coquillages de San Bartolomé de Noia montraient aussi leur souci à cause du bâtiment d’un pont situé sur la ria de Noia et qui serait placé entre Punta Gavoteira à Boa (Noia) et Punta Pequena à O Freixo (Outes) car il traverserait les zones de production de palourde et de couteau et qui passerait près de celle du bucarde ou coque le plus important: Celui de A Misela.

Nous avons demandé aux pêcheurs et pêcheuses de la zone sur les problèmes dus à la contamination et ils nous ont parlé des problèmes suivants:

  • les crabes, les étoiles de mer et les “cornetas” mangent des coquillages.

  • Si l’on fait draguer la ria on aura des problèmes avec la pêche des coquillages pendant deux ou trois ans.

  • Ils sont préoccupés car on leur avait promis le nettoyage de la ria il y a dix ans déjà et il n’y a pas eu encore de mouvement.

  • Ils croient qu’il faudrait plus de dépuratrices (en relation avec l’article de La Voz de Galicia).

  • Les pêcheurs et ramasseurs de coquillages accomplissent aussi une labeur de nettoyage de la ria, car les déchets qu’elles  ramassent du fonds de la ria, elles les déposent dans des containers.

 

Il faut faire noter que il y a deux sortes de métiers liés aux coquillages:

.Ramassage des coquillages à pied: ce sont 100% des femmes qui, pieds nus, font leur tâche avec la marée basse.

.Pêche des coquillages à flotte, sur des petits bateaux ou sur des barques, ce sont plutôt des hommes.

 

 

imagenA contaminación na Ría de Noia:

 

O 27-08-08 o periódico galego La voz de Galicia facíase eco da preocupación dos mariscadores de Noia pola instalación dun emisario da depuradora, situado na parroquia de Barro, que vertería moi preto dos bancos de ameixa e berberecho. A preocupación era que de estaren catalogados estes mariscos como de zona A (bivalvo que vai directamente do mar ó prato) pasarían a zona C, tendo que pasar o producto varias semanas na depuradora, coa depreciación que isto supón.

Os mariscadores dubidaban sobre a capacidade da depuradora de tratar o volume de auga procedente do casco noiés e que nese caso se puidese verter á ría a auga sen depurar.

Pedían polo tanto que se instalase un sistema de bombeo para verter os residuos mais alá das zonas de extracción. E engadían que, segundo eles, o idóneo sería separar pluviais e fecais dado que atopaban insuficiente a tubaxe para tratar todo o caudal.

 

Nunhas declaracións anteriores feitas a El Correo Gallego do 24-05-08 a confraría de pescadores de San Bartolomé de Noia tamén amosara a súa preocupación pola construción dunha ponte sobre a ría de Noia que estivese situada entre a Punta Gavoteira en Boa (Noia) e Punta Pequena no Freixo (Outes), xa que atravesaría as zonas de produción de ameixae navalla e pasaría próxima ó banco de berberecho máis importante: O da  Misela.

 

Postos en comunicación con mariscadores e mariscadoras da zona  coméntannos os seguintes problemas:

  • que os caranguexos, estrelas e cornetas comen o marisco.

  • Que se dragasen a ría terían problemas co marisqueo durante dous ou tres anos.

  • Que se lles prometeu a descontaminación hai xa 10 anos e aínda non viron movemento algún.

  • Cren que habería que ter máis depuradoras a pleno rendemento (en relación co declarado en La Voz de Galicia).

  • Os mariscadores e mariscadoras desempeñan tamén un labor de limpeza da ría xa que o lixo que collen no fondo ao rastrexar retírano ós colectores .

Temos que aclarar que hai dous tipos de oficios en relación co marisqueo:

– Colleita de marisco a pé: son mulleres no 100%, que fan descalzas a súa tarefa coa marea baixa.

– A pesca de moluscos a flotación: en pequenos barcos ou en chalupas, a maioría son homes. 

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Sources: La Voz de Galicia, O Correo Galego,

Ce travail a été fait par: Iván H. Goyo Q. , traduction: María Jesús.

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La météo: des instruments de mesure

 

imagenLors de notre séjour à Guérande nous avons visité la Maison des Paludiers et on nous a montré les principaux instruments météorologiques dont on se sert pour étudier les phénomènes atmosphériques. Le métier de paludier oblige à fixer les yeux au sol et au ciel pour régler la quantité d’eau des phares et étriers, et la fleur de sel dépend du souffle du vent de l’est.

 

 Des instruments météo:

 L’héliographe de Campbell-Stokes– mesure l’ensoleillement d’un lieu.

Hygromètre à cheveux– Inventé par Horace de Saussure en 1780: mesure l’humidité de l’air à l’aide des cheveux de femme.

Thermographe– Galileo 1607 mis à point le thermomètre. Sert à mesurer la température.

Psycromètre– Sert à mesurer l’humidité de l’air.

Barographe–  Torricelli a inventé le baromètre en 1643, mesure la pression atmosphérique.

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Architecture traditionnelle et durable: les chaumières

     

    photos:Juan, Irene, Pilar et Susi

    “Le chaume qu’il soit en paille de blé, de seigle ou en roseau est l’un des plus vieux matériaux de couverture utilisé au monde. Super-isolant et superbement esthétique, ce matériau retrouve peu à peu les faveurs du public en construction neuve mais aussi et surtout en rénovation.

    Le chaume est le terme générique désignant les toitures réalisées en matière végétale (paille de seigle, de blé, roseaux, bruyère, jonc, genets..). Il est utilisé depuis des temps ancestraux comme en témoigne des écrits datant de l’Égypte ancienne. En France, les gaulois l’utilisaient pour couvrir leurs maisons et dépendances. La tradition du chaume s’est poursuivie ensuite au moyen-âge et ce n’est finalement que très récemment que les tuiles et les ardoises l’ont supplanté sur les maisons bourgeoises. L’habitat pauvre a pourtant continué à utiliser le chaume pour couvrir les toitures ce qui explique pourquoi la chaumière est encore considérée comme une maison humble dans l’imagerie populaire. On le trouve dans toute l’Europe, et particulièrement en Angleterre, en Allemagne, et dans les pays scandinaves. En France, plusieurs régions ont gardé des habitations avec des toits de chaume (Bretagne, Normandie, Brière, Vendée, Massif central, Camargue…). Au fil des temps, la paille de seigle qui était la plus utilisée en raison de sa souplesse et de sa facilité à l’emploi a été remplacée par le roseau de Camargue (la Sagne) ou par des roseaux venant de Pologne. Ce transfert de matériau n’est pas lié aux qualités de l’un ou de l’autre mais plutôt à sa rareté. Le seigle étant de moins en moins cultivé, il est devenu difficile de s’approvisionner. En Camargue, les roseaux sont coupés entre novembre et mars puis rassemblés en fagots d’environ 60 cm de circonférence. La longueur des bottes varient entre 1.2 et 2 m . Pour couvrir un mètre carré de toiture, il faut en moyenne 10 à 12 paquets.

    La pose du chaume

    Le système de fixation du roseau sur la toiture varie selon les régions, mais le principe général de couverture reste lui assez égal. La manière traditionnelle est de fixer les bottes de roseaux tous les 15 à 18 cm à des liteaux par rangées horizontales, du bas vers le haut. Chaque botte est placée dans le sens de la pente pour permettre l’écoulement naturel de l’eau de pluie. Chaque botte est déliée pour ranger chaque brin de roseau ou de paille l’un à côté de l’autre. Chaque rangée recouvre les attaches de la précédente pour assurer une parfaite étanchéité. L’épaisseur finale d’un toit de chaume est d’environ 30 cm . Les faîtages sont traditionnellement réalisés en terre au nord et plantés de bulbes de lys ou d’iris pour un meilleur drainage en cas de fortes pluies, tandis qu’au sud, ils sont réalisés en terres cuites scellées et en plaques de cuivre ou de zinc. Une fois la couverture achevée, elle est entièrement peignée pour obtenir un aspect homogène. Une seconde technique est de plus en plus utilisée : elle consiste à visser le chaume sur une surface étanche (multiplex, OSB ou panneau aggloméré). Cette méthode permet une meilleure résistance au feu mais en contrepartie, elle est moins durable que la méthode traditionnelle (30 ans contre 40 ans et plus). La technique de pose est délicate. Elle demande un savoir-faire spécifique que seuls les chaumiers expérimentés peuvent proposer.”

    Extrait de http://www.voizo.fr/

     Photos: Juan, Irene, Pilar et Susi

    A “chaume” ou colmo é o termo xenérico que designa os teitos realizados con material vexetal (palla de centeo, de trigo, de cana, de breixo, xunco…) Utilízase dende tempos ancestrais como se testemuña en escritos que datan do Exipto antigo.

En Francia, os galos utilizábano para cubrir as súas casas e construcións adxectivas. A tradición do colmo continúase despois na idade media,  desapareceu recentemente cando as tellas e a lousa o suplantaron nas casas burguesas. Nas clases máis pobres continuose a utilizar a palla para cubrir os teitos,  o que explica que as casas de palla aínda se consideren como unha casa humilde no imaxinario popular. Atópase por toda Europa e particularmente en Inglaterra, en Alemania e nos países escandinavos. En Francia varias rexións conservaron vivendas con  teito  de palla (Bretaña, Normandía, Briere, Vendeé, Macizo Central…. Co paso do tempo a palla de centeo, que era  a máis utilizada pola súa flexibilidade e a súa facilidade de emprego, foi substituída pola cana de Camargue (La Sagre) ou polas canas procedentes de Polonia. Este cambio de material non se debeu ás virtudes dun ou doutro material, senón á escaseza do primeiro. O centeo está a ser cada vez menos cultivado, e comeza a resultar difícil de atopalo. En Camargue, as canas córtanse entre novembro e marzo. Despois xúntanse en feixes de aproximadamente 60 centímetros de circunferencia. A lonxitude dos feixes varía entre 1,2 e 2 metros. Para cubrir 1 metro cadrado fai falla unha media de 10 a 12 gavelas.

 

 A colocación da palla

     O sistema de fixación da cana sobre o tellado varía segundo as rexións, pero o modo xeral da cobertura é bastante parecido.Tradicionalmente fíxanse os brazados de canas cada quince ou dezaoito cm a uns listóns horizontais de abaixo cara arriba. Cada feixe está colocado no sentido da pendente para permitir a escorredura da auga da choiva. Cada gavela é separada para colocar cada fronza de cana ou palla unha ao lado da outra. Cada ringleira recobre as unións da precedente para asegurar unha perfecta impermeabilidade. A espesura final do teito de palla é de aproximadamente 30 cm. As cumieiras son tradicionalmente realizadas en terra ó norte, e plantadas de bulbos de lirio ou de iris para unha mellor drenaxe en caso de fortes choivas, mentres que ó sur están feitas de barro cocido e cortado e  de placas de cobre ou zinc. Cando a cobertura está rematada é totalmente peiteada para obter un aspecto homoxéneo. Unha segunda técnica, cada vez máis empregada, consiste en aparafusar a palla sobre unha superficie impermeable (múltiplex, OSB ou paneis aglomerados). Este método permite unha mellor resistencia ó lume pero é menos duradeira có método tradicional (30 anos fronte a máis de 40). A técnica de colocación é delicada e moi específica, só os profesionais experimentados a poden realizar.

    Traduction faite par les élèves de 3º de ESO de français.


    Les avantages du chaume (synthèse tirée de www.voizo.fr)

    – Le chame est un super isolant naturel puisqu’il forme une couche d’air épaisse d’environ 32 cm. de branches de chaume.

    – Le coefficient phonique est excellent puisque l’épaisseur du matelas de roseaux amortie tous les bruits de façon notoire.

    – Toutes les charpentes, même légères, peuvent accueillir une couverture en chaume. Le toit de chaume est léger.

    – Le toit de chaume est solide: bien entretenue i ldure plus d’un demi siècle.

    – La toiture chaume permet d’épouser toutes les formes de charpente. Si la charpente est irrégulière, il est possible de rattraper ses défauts en réglant l’épaisseur du chaume.

    – Un toit de chaume moderne n’est pas plus exposé aux risques d’incendie qu’un toit de tuiles ou ardoise. Le chaume est le plus souvent placé serré directerment sur un support de lattes fermé étanche aux courants d’air. Pour encore plus de sûreté, les toits de chaume actuels sont traités au moyen d’un retardateur de feu.

    – La couverture en chaume est insensible au gel, à la grêle, à la neige et à la tempête.


    Vantaxes do colmo (traduction faite par les élèves de 3º de ESO de français)

    – O colmo é un estupendo illante natural, xa que forma unha espesa capa de aire de aproximadamente 32 cm. de ramallos de palla.

    – O coeficiente fónico é excelente, xa que o grosor do colchón de canas amortigua todos os ruídos de maneira notable.

    – Todas as armazóns, mesmo lixeiras, poden acoller unha cuberta de palla.

    – O teito de palla é sólido: ben coidado dura máis de medio século.

    – O colmo permite recubrir todas as formas de armazón. Se a armazón é irregular é posible compensar os defectos regulando a espesura da palla.

    – O colmo moderno non ten máis riscos de incendio cá tella ou a lousa. O colmo é decote colocado moi preto sobre un soporte de listóns pechado impermeable ás correntes de aire. Para máis seguridade os colmos actuais trátanse cun retardador do lume.

    – O colmo é insensible ó xeo, saraiba, neve e temporais.

     

    Les inconvénients (synthèse tirée de www. voizo.fr)

    – Le chaume s’installe obligatoiresment sur des toits très pentus (35º minimum) pour éviter un phénomène de stagnation des eaux pluviales qui entraîneraient un pourrissement de la paille de couverture.

    – Un toit en chaume est plus cher qu’un toit en tuiles ou en ardoises puisque le temps de pose est largement supérieur. Mais cette différence de prix initiale peut être amortie par des économies subtantielles réalisées en amot: charpente plus légère, suppression du poste isolation, suppression du poste chéneaux, suppression du redressage de charpente sur de la restauration…

    – Les chaumiers même s’ils sont de plus en plus nombreux ont toutefois du mal à faire face à la demande.

    – Un entretien régulier est impératif pour garder toute l’étainchéité et donc les bénéfices d’isolation du chaume.

    – Il faut en moyenne un entretien tous les 3 ans, notamment sur les façades nord des toits plus exposées aux intempéries afin de débarraser le chaume des lichens ainsi que de la couche superficielle abîmée. Après 25 ans, l’épaisseur du chaume diminue.

    Dans ce cas, une intervention plus lourde est rendue obligatoire pour fixer de nouvelles liaisons aux endroits où elles ont disparu.

     

     Inconvenientes (traduction faite par les élèves de 3º de ESO de français)

    – O colmo instálase obrigatoriamente en teitos moi inclinados (35º mínimo) para evitar un fenómeno de estancamento das augas pluviais, o que provocaría un apodrecemento da palla do recubrimento.

    – O colmo é máis caro ca un tellado de tellas ou lousa por mor do tempo de colocación. Pero esta diferenza inicial de prezo pode amortizarse con aforros substanciais realizados noutros aspectos: armazón máis lixeira, supresión do illante, supresión dos canalóns, supresión dunha nova colocación da armazón nunha restauración.

    – A técnica de colocación do colmo é moi particular: malia que aumentou o número de instaladores, estes teñen dificultades para facer fronte á demanda.

    – Cómpre un mantemento regular para conservar a impermeabilidade, e polo tanto os beneficios, do illamento; é necesario un mantemento cada 3 anos de media, sobre todo nas fachadas norte dos teitos máis expostos ás intemperies, co fin de limpar o colmo dos liques  e da capa superficial estragada. Logo de 25 anos, o espesor do colmo diminúe. Neste caso é obrigatorio facer unha intervención máis importante para fixar novas unións nos lugares onde desapareceron.

    Conclusions:

    Les habitants du Parc Naturel de Brière sont obligés à conserver les chaumières où à refaire les toits en chaume lors d’une restauration. Il faut noter que du point de vue environemmentale: “A restauración ten que ser vista como a grande esperanza para conservar o noso riquísimo patrimonio cultural; para non facer ocupacións novas do territorio; para rescatar os vellos oficios, que estaban a ser abandonados; para dar traballo a un grande número de operarios, nos que prime a especialidade e o oficio por riba da cantidade; e pola utilización de materiais nóbeis e tradicionais… ” (Figueroa, Adela. Revista Cerna nº 57) ” As cementeiras son obxectivo número un no Protocolo de Quioto, por seren as fábricas que máis afectan á alteración composicional da atmosfera da Terra…”
     L’architecture traditionelle galicienne a utilisé pendant des siècles la chaume comme toit des maisons et dépendences, est-ce qu’elle est encore utilisé? Comment cela réponds au besoin d’un “Habitat durable”?

    Vivendas bioclimáticas
    Son unha aposta pola arquitectura sostible aínda que polo de agora non superen o milleiro en toda España segundo o CIEMAT (Centro de Investigacións Enerxéticas, Medioambientais e Tecnolóxicas). Segundo datos do Worldwatch Institute of Washington, os edificios e a construción abranguen o 60% do consumo de materiais e enerxía e a metade dos residuos e a contaminación que se produce no planeta.
    Grande parte das construcións tradicionais baséanse en principios bioclimáticos:
    – A ubicación: orientación norte-sur para conseguir o máximo aproveitamento solar.
    – A distribución das estancias: na parte norte as que menos se utilicen, no sur as que máis e ao leste os dormitorios.
    – A estrutura da casa con patios ou ocos interiores para facilitar a transmisión do frío ou calor que se xenere.
    – Un sistema de ventilacións cruzadas para facilita-la circulación de correntes de aire naturais que quenzan ou refrixeren.
    – O efecto invernadoiro para xerar calor: grandes xanelas na fachada sur acompañada ou non por un invernadoiro acaroado á vivenda, cun xogo de aberturas para controlar as correntes e a construción de beirís para permitir que a radiación solar entre en inverno  en non o faga no verán.
    – O refresco do aire.
    – A elección de muros de carga de maior espesura e inercia térmica para conservar a calor e illar mellor.
    – Ademais, a utilización de enerxía solar, eólica ou biomasa.
    D’après vous la chaumière réponds à ces besoins?, et l’architecture traditionelle de Galice? Qu’est-ce que vous croyez qu’il faut faire dorénavant pour avoir un habitat plus durable?
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La Brière… qu’est-ce que ça nous dit? Comparaison avec les Parc Naturels de La Galice

Photos: Juan, Irene, Pilar et Susi.

 La Brière, Parc Naturel Régional dès 1970 est composée par 7.000 hectares de marais qui appartiennent à 21 communes riveraines. Ce parc est aussi utilisé pour extraire la tourbe pour réchauffer les chaumes toitées par des joncs et des roseaux;  les habitants et propriétaires peuvent y chasser et y pêcher car ils ont transmis la propriété des terres à l’état mais ils ont conservé leurs droits d’y jouir, ils font aussi de l’élevage des moutons (certains restent des mois entriers sur les petits îlots) et de la volaille typique de la zone.

Le respect de l’environnement est une des exigences de ce parc; il faut construire avec des matériaux naturels traditionnels : de la pierre, du bois, des joncs, des roseaux…

Les espèces d’oiseaux les plus fréquents sont :boucarle de cetti, bruant des roseaux, bergeronette printanière, gorgebleue à miroir, échassse blanche, avocette élégante, cisticole des joncs, serin cini, milan noir, busard des roseaux, aigrette garcette, sarcelle d’hiver et tardone de Belon.

Les  mammifères qui le peuplent sont de petite taille: le rat musqué, le mulot sylvestre, le lièvre brun et le campagnol, la loutre, la belette, le putois, l’hermine et le vison.

Des reptiles et batraciennes: le lézard vert, le vivipare, la couleuvre vipérine, à collier, la vipère péliade, le crapaud, la grenouille (verte rainette et agile) la salamandre et les tritons.

Dans les eaux on trouve : l’anguille, la brême, la tanche, le gardon, le brochet, la perche commune, le sandre.
Et en ce qui concerne la flore il y a bon nombre de: bruyères, ajoncs, asphodèles, scirpes des marais , les ros (ces deux derniers pour la confection des toitures), joncs des lacs(le meilleur pour la chaume), iris des marais, les patiences d’eau, nymphéas, gaillets, mourons, les guimauves et à l’ouest de la Brière près des marais salants,  la salicorne, fort connue et commercialisée.

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A Brière, Parque Natural Rexional dende 1970 está composto por 7.000 hectáreas de pantanos que pertencen a 21 comunidades ribeirás. Este parque úsase utilizado para extraer a turba para quentar as casas con teitos de xuncos e canas. Os habitantes e propietarios poden cazar e pescar, xa que  lles transmitiron a propiedade das terras ó Estado pero conservan os seus dereitos de usufruto. Tamén se dedican ao coidado das ovellas (algunhas quedan mesmo varios meses sobre pequenas illas) e das aves de curral típicas da zona.

O respecto do medio ambiente é unha das esixencias deste parque. É obrigatorio construír cos materiais naturais tradicionais: pedra, madeira, xuncos e canas.

As especies de paxaros máis frecuentes son:reiseñor da auga,escribenta das canaveiras, verdeal, papoazul, patuda, avoceta, picaxuncos, xirín, miñato queimado, rapina arpella, garzota, cerceta real, pato branco.

Os mamíferos que a poboan son de tamaño pequeno: o rato almiscrado, o rato de campo, a lebre parda, a lontra, a donicela, o tourón, o armiño e o visón.

Reptís e batracios: o lagarto verde, a cobra viperina, de colar, a víbora, o sapo, a ra (de varios tipos), a píntega e os tritóns.

Na auga atopamos: anguía, brema, tenca, gobio, lucio, perca común.

En canto á flora: uces, toxos, asfódelos, “scirpes” dos pantanos, ros (estes dous últimos para a confección dos teitos), xuncos das lagoas (o mellor para o colmo), iris dos pantanos, labazas, nenúfares, herba coalleira, muruxas, malvariscos e, no oeste da Brière preto das salinas, a ben coñecida e comercializada salicornia.

Quels sont les différences et les ressemblances que vous y trouvez  entre cette zone-là et nos parcs naturels en Galice, notamment “A fraga do Eume” et “Lagoa e dunas de Corrubedo“? Faites des comparaisons entre flore, mammifères, amphibies, poissons et oiseaux. Est-ce qu’il y a de la salicorne en Galice?

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Dessin fait par Nahir Q. A. 3º ESO B

Ce travail a été fait avec la collaboration des élèves de 3º A et B de ESO. Traduction: Maria Jesús


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Visitez … “O castro de Servia”

Le castro de Servia est situé aux environs du village. Ce n’est pas un lieu public, puisqu’il appartient à une des familles de la contrée. Mais on peut bien le visiter, aussi bien que la rivière Traba qui passe juste à côté. C’est certainement un charmant endroit  puisque l’atmosphère est calme et tranquille  où l’on peut jouir de la nature.

Les actuels possesseurs de cette propriété, à laquelle appartient le castro, cherchent la manière de faire ce lieu public et qu’il se fasse connaître à toute la Galice. Nous espérons que tous ceux qui  lisent ce petit commentaire seront intéressés à ce site privilégié.

 

 

Lorena V. R. e Estefanía P. G. 3ºB ESO

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